Quel scooter 3 roues avec permis B ?

Yamaha glisse à une vitesse plus élevée (et le déplacement) sur le segment tricycle des scooters et approuvé pour les permis B Après la première Tri-City (125 cc), le fabricant japonais passe à 300 cc. La nouvelle Yamaha Tri-City 300 pourrait être un énorme succès si elle conserve les forces de son frère cadet, à savoir une maniabilité de premier ordre. Le moteur 300cc lui offre de meilleures compétences routières.

La première Tri-City a atteint Yamaha début 2014. Le premier modèle 125 cc pour dégager une niche inhabitée par Yamaha et passé en grande partie sous la domination du leader Piaggio. Yamaha avait de fortes ambitions dans son segment de scooters 3 roues capables de basculer à tour de rôle (technologie LMW à Yamaha), mais les inscriptions sont restées dans la pénombre. Et peut-être à cause de ça, Yamaha n’a pas redoublé d’efforts sur son segment… Mais ici, cinq ans plus tard, le fabricant japonais dévoile enfin une nouvelle modèle tricycle, avec Tri-City 300.

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Yamaha Tri-City 300 : Du coffre en plus, surtout dans le moteur !

Pour garder cette nouvelle Tri-City à l’esprit, l’inflation défiance, qui s’élève à 300cc. On ne sait pas, pour le moment, s’il s’agit du moteur qui équivaut au X-MAX 300 ; pourtant, Yamaha s’est certainement appuyé sur cette base mécanique (le monocylindre ultra-moderne Blue Core, 292 cc, développant 28 ch). Dans ce cas, Tri-City 300 ne devrait pas manquer d’efficacité. Yamaha devra peut-être refaire la transmission pour améliorer la nervosité au démarrage plutôt que la vitesse maximale, mais ce moteur de 300cc affiche d’excellentes performances. Il augure donc bien, et ce nouveau Tri-City 300 peut convaincre B permis qui trouvaient Tri-City 125 trop limité pour les grands axes.

Enfin la gestion avec le blocage à l’aide de la technologie TLA !

Tri-City 125 n’était pas équipé dans la direction avec un verrou pendant la phase d’arrêt, par opposition à la gamme MP3 de Piaggio. Yamaha rejoint maintenant un groupe italien avec Tri-City 300 qui aura cette technologie, ici appelée TLA. Pour Yamaha, c’est une progression significative et presque inaliénable face à ce que Piaggio offre, et aussi parce que si Tri-City 125 peut s’en passer grâce à son faible poids, il deviendra beaucoup plus nécessaire sur la Tri-City 300 avec un poids plus élevé.

Yamaha Tri-City 300 : Un look plus sportif, dans l’esprit du concept 3CT.

La nouvelle Yamaha Tri-City 300 a un design beaucoup plus sportif que la Tri-City 125, avec une finition plus enveloppante, des lignes moins arrondies et une section arrière ressemblant à des maxi scooters comme le TMAX (pas nécessairement 530cc). Yamaha a donc décidé de s’éloigner de la ligne de fluette (et féminine) de la Tri-City 125. De plus, dans un clip vidéo faisant la promotion de Tri-City 300, le conducteur est humain, c’est sans aucun doute un signe sur la cible cible. Le design rappelle également le concept 3CT dévoilé l’année dernière. Donc il a bien annoncé la couleur.

Beau potentiel sur le marché des roues 3

L’ arrivée de la nouvelle Yamaha Tri-City 300 ne ravira pas le Groupe Piaggio, qui domine largement ce segment contre Peuget et Quadro en particulier. Yamaha peut compter sur son réseau, très bien distribué au niveau géographique, ainsi que sur ses employés, qui connaissent très bien le scooter. Si Tri-City 300 conserve la « manœuvrabilité du projet Tri-City 125 », avec l’inévitable inertie suprême bien sûr, le plaisir devrait être en grande partie pour la réunion. La vitesse avant de la Yamaha LMW est très réussie. Il reste à connaître les données finales, en particulier le prix, aspect essentiel sur ce créneau, mais Yamaha devrait être compétitive, aussi sur le financement et les diverses aides à l’achat (LDD, LOA).

est humain, c’est sans aucun doute un signe sur la cible cible. Le design rappelle également le concept 3CT dévoilé l’année dernière. Donc il a bien annoncé la couleur.

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L’ arrivée de la nouvelle Yamaha Tri-City 300 ne ravira pas le Groupe Piaggio, qui domine largement ce segment contre Peuget et Quadro en particulier. Yamaha peut compter sur son réseau, très bien distribué au niveau géographique, ainsi que sur ses employés, qui connaissent très bien le scooter. Si Tri-City 300 conserve la « manœuvrabilité du projet Tri-City 125 », avec l’inévitable inertie suprême bien sûr, le plaisir devrait être en grande partie pour la réunion. La vitesse avant de la Yamaha LMW est très réussie. Il reste à connaître les données finales, en particulier le prix, aspect essentiel sur ce créneau, mais Yamaha devrait être compétitive, aussi sur le financement et les diverses aides à l’achat (LDD, LOA).

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